Prenons l’exemple de l’homme primitif. Dans la nature il lui est très difficile de trouver de la nourriture. Il doit sans cesse se battre pour survivre. La nature a développé plusieurs instincts pour le protéger :
- un besoin profond de sucre qui lui est nécessaire pour vivre et qui se trouve très rarement dans la nature.
- un besoin de repos, sommeil ou pause afin de ne pas arriver, comme cela se dit couramment, au bout du rouleau et de ne pas être capable de se défendre par manque d’énergie.
Ces besoins sont difficilement satisfaisables dans un monde primitif et le sont excessivement dans un milieu civilisé. Le sucre est très facile à trouver, il suffit d’ouvrir l’armoire. Nous avons grâce à cette facilité des dépendances au sucre qui s’installent avec à la clé des personnes obèses. L’obésité est un problème socio-économique qu’il faut éradiquer. Notre société européenne en était exempte il y a 50 ans alors qu’il y a 50 ans les États-Unis en étaient déjà bien affectés. Leur image de la société ne nous convient pas du tout.
Faut-il gaver un enfant de sucre pour lui faire plaisir ? Non bien évidemment, l’éducation doit lui donner le sens de la mesure dans tous les domaines : sucre, vidéo, drogue, paresse, sexe et cetera.
En fin de compte, la morale religieuse est un excellent standard pour le développement d’une société équilibrée et surtout d’individus équilibrés, libres de toute dépendance.
La censure quand elle est modérée et pour le bienfait de la société a quelque chose d’extrêmement utile. Un film qui exalte les relations humaines, l’amitié, le sens du devoir, le sens du travail bien accompli, et cetera est un film qui aura un impact positif sur l’ensemble de la société. Au contraire un film qui met en avant le sexe, la violence, sera nocif pour la société. Bien évidemment les films des années 50 avaient de la violence mais cette violence était toujours là pour exprimer quelque chose de négatif, les méchants étaient toujours punis ou alors les méchants n’étaient pas si méchants que ça.
Il faut absolument enseigner aux enfants que le plus important n’est pas ce que l’on peut avoir mais ce que l’on peut être !