( I have nothing to offer but blood, toil, tears and sweat )
A part le sang, cette citation de Winston Churchill pourrait s’appliquer à notre pays immédiatement.
En effet, la situation de notre pays est catastrophique: environ 3300 milliards de dettes, 110 milliards de déficit de la balance commerciale et une fuite en avant consistant à augmenter les dettes à chaque mandat présidentiel. Ajoutez à cela la volonté de beaucoup de dirigeants européens à pousser leur pays dans une économie de guerre.
Ce n’est absolument pas un programme électoral porteur, et pourtant, si nous voulons redresser la barre du pays il va être nécessaire de s’y mettre tous. L’union fait la force, riches comme pauvres tout le monde doit participer au redressement de la nation et cela ne se fera ni avec des augmentations de salaire, ni avec une augmentation du nombre de bénéficiaires du RSA, ni avec une augmentation de la durée d’indemnisation chômage, ni en continuant à rembourser toutes les pathologies au point de vue assurance maladie.
Et pourtant avec une bonne gestion de l’État, une baisse de dépenses, un arrêt total des subventions quelles qu’elle soient, un arrêt des dons aux grosses associations, aux ONG quelles qu’elles soient, la barre pourra être redressée.
Le très temporaire gouvernement Barnier était fier des économies de 40 milliards qu’il projetait de faire sur un an, à ce rythme-là il faudrait 82 ans pour rembourser notre dette !
Pour une grande partie, les gens qui votent sont des fonctionnaires. Par ailleurs ces même fonctionnaires occupent beaucoup de postes représentatifs. Un fonctionnaire est un salarié de l’État. On ne peut être juge et partie, pour réformer la fonction publique il semblerait judicieux de limiter aux employés de la fonction publique les fonctions électorales, c’est seulement à ce prix que nous pourrons réformer notre état.